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Les vacances familiales infernales de Lisa Simpson | bungakawa2011 | 3

 

En un éclair, Lisa avait retiré les mains de sous son chandail, mais pas assez vite pour ne pas être vue dans cette position compromettante. Le visage de la femme qui avait passé la tête dans le compartiment devint aussitôt cramoisi. L'embarras de Lisa se mua bien vite en surprise lorsqu'elle reconnut la nouvelle-venue. "Madame Flanders !
- Oh ! ça par exemple, Lisa Simpson ! Comme tu as grossi... grandi ! Je veux dire 'grandi'. Hum..."
Maude Flanders n'avait pas changé. Lisa retrouvait le même regard placide, la même figure toujours élégamment maquillée, encadrée de cheveux auburn légèrement bouclée. La famille Flanders avait toujours été excessivement prude, et elle comprenait fort bien l'embarras de cette femme de l'avoir surprise alors qu'elle se manipulait les seins, ces seins vingt fois plus gros qu'ils ne l'étaient lorsqu'elles s'étaient vues la dernière fois, plus d'un an auparavant. Lisa se redressa un peu et plaça ses mains sur ses genoux, dans l'attitude la moins choquante qu'elle pouvait imaginer.
"Heu, vous retournez à Springfield aussi, madame Flanders ?
- Oh ? Heu, oui, et, justement... hum... le, les autres compartiments sont occupés, par des étrangers, alors puisque..."
D'un geste de la main, Lisa l'invita à entrer. Elle avait espéré voyager seule, mais ce n'était pas Maude Flanders qui allait la déshabiller des yeux, après tout.

Les pensées de Lisa s'embrouillèrent à la seconde où Maude se glissa à l'intérieur en murmurant un "merci". Elle portait toujours un de ses éternels gilets de laine rose, mais celui-ci était tendu à craquer sur une paire de mamelles au moins aussi grosses que les siennes. Pire : à chaque mouvement de la femme, sa poitrine ondulait joyeusement, révélant sans doute possible qu'elle aussi voyageait sans soutien-gorge. Lisa, muette d'étonnement, dévisagea sa nouvelle compagne de voyage, dont le teint passait sans transition du rouge au blanc. La surprise passée, les questions se pressaient sur les lèvres de Lisa. Elle aurait voulu demander "comment, pourquoi, depuis quand", mais l'air pitoyablement honteux de Maude l'en empêcha. Étant donné sa propre physionomie, elle comprenait parfaitement pourquoi son ancienne voisine cherchait un compartiment vide lorsqu'elles s'étaient rencontrées, et elle savait aussi qu'elle avait demandé à faire le voyage avec elle en supposant qu'elle était assez polie pour ignorer sa gigantesque poitrine. Ça, elle le comprenait ; mais Lisa ne parvenait pas à deviner ce qui pouvait pousser une bonne brebis aussi chaste que cette Sainte-Nitouche à se promener ainsi en public sans offrir à tout le moins un solide support à ses mamelles charnues...

Les deux femmes étaient assises face à face, immobiles et silencieuses, depuis un bon quart d'heure lorsque le train fut secoué à la faveur d'un changement de voie un peu brusque. Sous le coup de la surprise, les deux portèrent les mains à leurs amples attributs afin d'en calmer les soubresauts, mais ni l'une ni l'autre ne put se résoudre à se toucher les seins devant une spectatrice et, les joues rouges de honte, elle endurèrent les humiliantes vibrations de leur poitrine jusqu'à ce que celle-ci retrouve d'elle-même son immobilité première.

Lisa ferma les yeux et respira profondément. Comme elle détestait sa situation humiliante ! Au moins, Maude Flanders était la discrétion même, et... et elle ne semblait pas bien aller du tout. En ouvrant les yeux, Lisa trouva sa compagne de voyage plus cramoisie que jamais et visiblement si tendue qu'elle était à deux doigts de la crise de nerfs.
"Madame Flanders ? Est-ce que ça va ?"
Maude ne répondit pas, mais Lisa repéra du coin de l'oeil la source de son profond malaise : son chandail, mal adapté à ses plantureuses formes femelles, avait échoué dans sa tâche, et le bas de son sein gauche était maintenant visible. À chaque seconde, le vêtement glissait un peu plus haut sur sa chair, dévoilant toujours plus de cette mamelle rebondie que Maude feignait d'ignorer. Lisa réprima à grand peine un cri d'angoisse : elle ne connaissait que trop bien ces dévoilements involontaires de ses charmes qui faisaient son malheur à elle, mais la joie incompréhensible de sa mère.

Le chandail glissait, glissait. Maintenant, près de la moitié de l'énorme boule de chair était exposée. Lisa, la gorge serrée, hasarda un timide : "Madame Flanders... madame Flanders !" Mais Maude regardait droit devant elle, la figure presque violacée, les poings serrés sur ses genoux, les yeux humides, comme si elle pouvait fuir cette situation par la seule force de sa volonté. Lisa était sur le point de se lever, elle était sur le point de toucher l'épaule de l'autre femme lorsque le train fut une nouvelle fois secoué et la gigantesque mamelle de Maude fut soudain entièrement dévoilée au regard de la jeune femme. La figure de la dénudée vira aussitôt au blanc tandis que celui de Lisa s'empourprait. La femme au sein nu déclara soudain : "Je suis fatiguée, je crois que je vais dormir un peu" avant de fermer les yeux et d'incliner la tête. Lisa savait bien qu'elle faisait semblant et que son sommeil soudain n'était que la seule façon qu'elle avait trouvée pour cacher sa honte, mais elle ne dit rien. Maude demeura parfaitement immobile et silencieuse jusqu'à ce que Lisa elle-même s'endormit. Lorsque son sein droit échappa lui aussi, centimètre par centimètre, à l'emprise de son chandail de laine rose, elle n'eut d'autre réaction qu'un sanglot étouffé.

 

Un peu plus tard...


          Maude Flanders: nudiste?!

 
 
 

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